Dès le Vendredi
18 au 19 Octobre 2024
The Silence of the Sirens, une proposition de Tamar Kisch à découvrir les 18 et 19 octobre 2024 au Commun, Genève.
Fragmenter, magnifier, retarder. The Silence of the Sirens, la première pièce solo de Tamar Kisch, traite de la capture d’images corporelles par la photographie.
Qu’est-ce que l’image est capable de capturer, et qu’est-ce qui restera oublié ? Le titre est emprunté à une nouvelle éponyme de Franz Kafka (1917), qui raconte la confrontation d’Ulysse avec les sirènes et leurs voix mortellement séduisantes.
«Au moment même où elles étaient le plus proches de lui, il ne les connaissait plus », résume une conscience et un oubli paradoxaux, soulignant la nature éphémère et insaisissable de la perception.
Durant la performance, un cri résonne comme une mélodie répétitive qui tente de s’accrocher à un détail précis mais étouffé, un cri et un son avalés. L’acte de photographier invite le corps à passer par une diversité de formes, d’états et de qualités physiques. La perspective de l’appareil photo laisse un espace spéculatif à l’imagination du spectateur.
Dans cet espace, certains détails captent le regard, le transpercent avec intention et restent anonymes. L’artiste s’inspire de La Chambre claire (1980) de Roland Barthes.
La performance se situe entre le Studium (significations sociales, historiques, culturelles qu’on peut comprendre dans une photographie) et le Punctum (élément de la photographique qui crée un impact émotionnel chez le spectateur), créant des images sur scène qui se rattachent au temps et au lieu tout en touchant des domaines émotionnels par le biais de détails non médiatisés.
Fragmenter, magnifier, retarder. The Silence of the Sirens, la première pièce solo de Tamar Kisch, traite de la capture d’images corporelles par la photographie.
Qu’est-ce que l’image est capable de capturer, et qu’est-ce qui restera oublié ? Le titre est emprunté à une nouvelle éponyme de Franz Kafka (1917), qui raconte la confrontation d’Ulysse avec les sirènes et leurs voix mortellement séduisantes.
«Au moment même où elles étaient le plus proches de lui, il ne les connaissait plus », résume une conscience et un oubli paradoxaux, soulignant la nature éphémère et insaisissable de la perception.
Durant la performance, un cri résonne comme une mélodie répétitive qui tente de s’accrocher à un détail précis mais étouffé, un cri et un son avalés. L’acte de photographier invite le corps à passer par une diversité de formes, d’états et de qualités physiques. La perspective de l’appareil photo laisse un espace spéculatif à l’imagination du spectateur.
Dans cet espace, certains détails captent le regard, le transpercent avec intention et restent anonymes. L’artiste s’inspire de La Chambre claire (1980) de Roland Barthes.
La performance se situe entre le Studium (significations sociales, historiques, culturelles qu’on peut comprendre dans une photographie) et le Punctum (élément de la photographique qui crée un impact émotionnel chez le spectateur), créant des images sur scène qui se rattachent au temps et au lieu tout en touchant des domaines émotionnels par le biais de détails non médiatisés.
Dans le cadre de Dance First Think Later
Tamar Kisch, création et interprétation - Tal Yachas, direction artistique
Galerie de photos
Pour s’y rendre
Cela pourrait aussi vous intéresser
Découvrez aussi...
leprogramme.ch vous propose une sélection d’événements à découvrir. Vous pouvez utiliser la recherche avancée pour visualiser plus d’événements.