Jeudi
12 Septembre 2024
Delia Meshlir Duo et Loverman, deux concerts à découvrir le 12 septembre 2024 à L'Épicentre, Collonge-Bellerive.
Les chansons de Delia Meshlir parlent d'amour, de confiance et de la façon de gérer le temps qui passe. Une écriture poétique mélangée à des influences pop, folk rock et indie rock qui rappelle Angel Olsen, Cat Power ou encore PJ Harvey. Entourée d'un guitariste, Delia Meshlir apporte des sonorités rock et psychédéliques à son folk natal, pour nous immerger dans ses émotions sincères et puissantes.
Projet solo du musicien belge James de Graef, ex-membre du groupe de rock bien barré Shht, Loverman prend un nouveau départ et dévoile tout son talent de songwriter. Dans une ambiance feutrée, d’une voix chaude et grave dans la lignée de Leonard Cohen ou Nick Cave, à qui il a emprunté son pseudo, Loverman égrène ses chansons d’amour comme autant de voyages au cœur de ces grandes plaines désertes d’où l’on ne revient jamais.
Crépusculaire et sensible, l’artiste empoigne sa guitare et se débarrasse de tout arrangement superflu pour nous emmener dans un univers de douceur mélancolique à nous faire dresser les poils. Ici et là, quelques cordes discrètes viennent souligner une intimité qui se partage.
Avec des morceaux qui ne sont pas sans rappeler Lee Hazlewood dans ses grandes heures ou la grâce éclairée de Stuart Staples (Tindersticks) et d’autres un peu plus enlevés pour tenir le public en haleine, Loverman fait une entrée fracassante dans la tradition folk en y inscrivant des morceaux à vocation intemporelle.
Les chansons de Delia Meshlir parlent d'amour, de confiance et de la façon de gérer le temps qui passe. Une écriture poétique mélangée à des influences pop, folk rock et indie rock qui rappelle Angel Olsen, Cat Power ou encore PJ Harvey. Entourée d'un guitariste, Delia Meshlir apporte des sonorités rock et psychédéliques à son folk natal, pour nous immerger dans ses émotions sincères et puissantes.
Projet solo du musicien belge James de Graef, ex-membre du groupe de rock bien barré Shht, Loverman prend un nouveau départ et dévoile tout son talent de songwriter. Dans une ambiance feutrée, d’une voix chaude et grave dans la lignée de Leonard Cohen ou Nick Cave, à qui il a emprunté son pseudo, Loverman égrène ses chansons d’amour comme autant de voyages au cœur de ces grandes plaines désertes d’où l’on ne revient jamais.
Crépusculaire et sensible, l’artiste empoigne sa guitare et se débarrasse de tout arrangement superflu pour nous emmener dans un univers de douceur mélancolique à nous faire dresser les poils. Ici et là, quelques cordes discrètes viennent souligner une intimité qui se partage.
Avec des morceaux qui ne sont pas sans rappeler Lee Hazlewood dans ses grandes heures ou la grâce éclairée de Stuart Staples (Tindersticks) et d’autres un peu plus enlevés pour tenir le public en haleine, Loverman fait une entrée fracassante dans la tradition folk en y inscrivant des morceaux à vocation intemporelle.
Dans le cadre de La Bâtie
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