Mardi
10 Novembre 2015
Ayant déjà conjugué au futur un passé pas si simple dont ils ont redoré le blason sur un lit de beats dancefloor, les cyberpunks des années folles se réinventent avec une arrogante insouciance dans un troisième album surprenant et attendu. Car Caravan Palace ne s’enferme ni dans l’étroitesse du premier ni dans l’opulence de l’autre et dépoussière plus encore les rayonnages bien rangés de l’histoire de la musique.
Loin du bordel de genres, au Palace, on digère et on renouvelle avec clâsse (mais pas trop). Et le nouveau Caravan, ça râpe aux entournures, c’est punchy, c’est décadent, c’est groovy, toujours évident, ça prend son temps et ça brille dans le noir. A l’heure où le has-been est devenu tendance, il se fout bien plus de la mode que de l’an 40, sans renier ses poum tchak ni ses wap doo wap. Il avance à son rythme et écrit la musique d’après-demain, l’insouciante, la sautillante, avec des vrais morceaux d’instruments à l’intérieur, celle qui se joue du temps, des styles et des dancefloors.
Loin du bordel de genres, au Palace, on digère et on renouvelle avec clâsse (mais pas trop). Et le nouveau Caravan, ça râpe aux entournures, c’est punchy, c’est décadent, c’est groovy, toujours évident, ça prend son temps et ça brille dans le noir. A l’heure où le has-been est devenu tendance, il se fout bien plus de la mode que de l’an 40, sans renier ses poum tchak ni ses wap doo wap. Il avance à son rythme et écrit la musique d’après-demain, l’insouciante, la sautillante, avec des vrais morceaux d’instruments à l’intérieur, celle qui se joue du temps, des styles et des dancefloors.
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