Vendredi
20 Mars 2020
CRISE COVID-19 - REPRÉSENTATION ANNULÉE
COMMUNIQUÉ DU THÉÂTRE
J’ai rêvé la Révolution, un spectacle inspiré par la vie d'Olympe de Gouge, à découvrir le 20 mars 2020 au Théâtre Forum Meyrin (TFM).
Sa seule faute a été d’écrire. Dans ses textes, elle revendique la liberté. Elle veut pour elle, en tant que femme, des droits égaux à ceux des hommes. Elle rêve d’une société où penser n’est pas le privilège de quelques-uns, mais la chance de tous. Doit-elle mourir pour cela? Doit-elle passer sous la guillotine? Mais non, une telle injustice paraît impossible. La raison et la pitié vont forcément triompher. Les juges vont comprendre la valeur et l’honnêteté de ses idées. Comment pourrait-il en être autrement?
Comédienne, auteure et metteuse en scène depuis plus de trente ans, Catherine Anne s’est inspirée des derniers jours d’Olympe de Gouges, féministe révolutionnaire, femme de lettres française de la fin du XVIII e siècle, créatrice notamment d’une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, et grande intellectuelle désormais reconnue du Siècle des lumières.
Mais le spectacle est loin d’être seulement historique. C’est avant tout une ode à la pensée, à la grandeur oubliée des femmes, à l’écriture et au théâtre aussi, lorsqu’ils nous placent devant de grandes questions et des émotions puissantes. Avec une langue forte et poétique, Catherine Anne va à l’essentiel. Du fond de sa cellule, confrontée à un jeune gardien qui défend l’ordre des guillotineurs, sa prisonnière nous regarde droit dans les yeux. Intensément solaire, vivante, trépidante, elle n’abandonne jamais ni l’espoir ni ses convictions. Un très bel écho aux engagements d’aujourd’hui.
COMMUNIQUÉ DU THÉÂTRE
J’ai rêvé la Révolution, un spectacle inspiré par la vie d'Olympe de Gouge, à découvrir le 20 mars 2020 au Théâtre Forum Meyrin (TFM).
Sa seule faute a été d’écrire. Dans ses textes, elle revendique la liberté. Elle veut pour elle, en tant que femme, des droits égaux à ceux des hommes. Elle rêve d’une société où penser n’est pas le privilège de quelques-uns, mais la chance de tous. Doit-elle mourir pour cela? Doit-elle passer sous la guillotine? Mais non, une telle injustice paraît impossible. La raison et la pitié vont forcément triompher. Les juges vont comprendre la valeur et l’honnêteté de ses idées. Comment pourrait-il en être autrement?
Comédienne, auteure et metteuse en scène depuis plus de trente ans, Catherine Anne s’est inspirée des derniers jours d’Olympe de Gouges, féministe révolutionnaire, femme de lettres française de la fin du XVIII e siècle, créatrice notamment d’une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, et grande intellectuelle désormais reconnue du Siècle des lumières.
Mais le spectacle est loin d’être seulement historique. C’est avant tout une ode à la pensée, à la grandeur oubliée des femmes, à l’écriture et au théâtre aussi, lorsqu’ils nous placent devant de grandes questions et des émotions puissantes. Avec une langue forte et poétique, Catherine Anne va à l’essentiel. Du fond de sa cellule, confrontée à un jeune gardien qui défend l’ordre des guillotineurs, sa prisonnière nous regarde droit dans les yeux. Intensément solaire, vivante, trépidante, elle n’abandonne jamais ni l’espoir ni ses convictions. Un très bel écho aux engagements d’aujourd’hui.
Catherine Anne, texte, mise en scène
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